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Le surf a la côte.

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Les surfeurs ont le vent en poupe et s’engagent pour la protection des océans.

Sport par excellence lié à la nature et à la mer, le surf a la côte. Avec un peu plus de 700.000 pratiquants et 80.000 licenciés en France la pratique de ce sport est en constante évolution. Il faut dire que depuis 10 ans les planches de surf se sont fortement démocratisées en termes de prix, de taille ou de niveau. Débutant ou confirmé, les planches de surf, de paddle ou de bodyboard sont désormais abordables et plus facilement transportables.
En parallèle une prise de conscience écologique se fait de plus en plus entendre pour ces amoureux de la mer qui entendent bien agir pour protéger leur terrain de jeu

  1. L’association Surfrider

    Surfrider Foundation Europe  s’est donné pour mission de protéger, sauvegarder et mettre en valeur les océans et la population qui en jouit.  L’ONG a notamment obtenu l’obligation d’information au public sur la qualité des eaux de baignade.
    Pour aller plus loin l’association collabore depuis 2021 avec l’Ifremer  (Institut français de recherche pour l’exploitation de la mer)  sur un programme pour mesurer  des polluants qui échappaient jusqu’à présent à la surveillance.

     

    Ils équipent les chevilles de volontaires, surfeurs, baigneurs ou plongeurs qui captent des échantillons le long de nos côtes pendant leur session dans le but d’avoir une photo précise des types de pollutions. Un bel exemple de science participative pour avoir une vision sur le long terme et sur des zones ciblées.

  2. Une solution plus écologique pour les pros du surf.

    Entre planche fabriquée en Asie avec des matériaux très polluants et kilomètres avalés pour se rendre sur les spots de surf, le bilan carbone tourne vite à la catastrophe pour un surfeur expérimenté. Nomads surfing , jeune marque de surf bordelaise, propose des planches à base de polystyrène biosourcé, une mousse formée à partir de matière végétale – notamment de déchets verts – permettant de réduire jusqu’à 55% l’empreinte carbone de leurs surfs, fabriqués en France et 100% recyclables.