Le vrai coût d’un pare-brise cassé (pour la planète)

Un petit choc, un éclat, une fissure. Le réflexe est souvent immédiat : on appelle l’assurance, on remplace. Mais ce geste apparemment anodin cache un véritable coût pour l’environnement. Et si on regardait de plus près ?
15 kg de CO₂ évités : réparer plutôt que remplacer
Remplacer un pare-brise, c’est enclencher une chaîne industrielle lourde :
· Extraction de silice, une ressource naturelle précieuse menacée de pénurie
· Fusion du verre à plus de 1 500°C, une opération très énergivore
· Transport de pièces fragiles sur de longues distances
· Destruction du vitrage usagé, souvent sans valorisation réelle
En comparaison, réparer un impact permet d’éviter jusqu’à 15 kg de CO₂. C’est rapide, efficace, et dans la majorité des cas, tout aussi sécurisé.
Un gisement de verre trop souvent gaspillé
Chaque année, ce sont des milliers de tonnes de pare-brise qui finissent dans les décharges ou dans des circuits de recyclage inefficaces.
Pourquoi ? Parce que le remplacement est plus simple, plus rapide, et souvent plus rentable pour les réseaux de réparation.
Résultat : on jette un verre encore utilisable. Et pour convaincre ? Des promesses de cadeaux, des aspirateurs offerts...
Mais au fond, qui paie ? L’assureur, donc nous tous.
GLASSEO s’engage pour un modèle plus durable
Chez GLASSEO, nous avons fait un autre choix. Chaque intervention est pensée pour minimiser son empreinte carbone, sans compromis sur la qualité :
· Réparer systématiquement quand c’est possible
· Recycler 100 % de nos déchets avec des partenaires engagés
· Former nos techniciens à l’écoconduite et à l’économie circulaire
· Optimiser les tournées pour réduire les kilomètres inutiles
· Rouler propre : notre flotte inclut des camions électriques et à hydrogène
La solution passe aussi par l’information
Peu d’automobilistes le savent, mais la réparation d’un impact est souvent prise en charge à 100 % par votre assurance. Aucune avance de frais, pas de franchise. Alors pourquoi ne pas en profiter ? Réparer plutôt que jeter, c’est un choix citoyen. C’est aussi un moyen de dire non au tout-jetable, de reprendre le contrôle sur nos décisions.
Derrière chaque fissure, une décision qui compte.
La prochaine fois que vous constatez un impact, demandez à votre réparateur : « Peut-on réparer plutôt que remplacer ? » Un petit geste pour vous, un vrai coup de frein pour l’empreinte carbone.