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L’appartement 100 % low-tech de Corentin de Chatelperron : vivre autrement dès aujourd’hui

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low-tech

Chez GLASSEO, on suit avec admiration les projets de Corentin de Chatelperron, ingénieur, navigateur et aventurier, né à Vannes le 14 mai 1983. Il s’est fait un nom en explorant les low-tech lors de voyages en mer à bord de voiliers-laboratoires, et nous avons déjà eu l’occasion de le rencontrer lors de ses escales à Concarneau et du festival du low-tech.

Aujourd’hui, il débarque… en appartement ! Son nouveau défi : montrer qu’on peut vivre autrement, en ville, avec peu de technologie sophistiquée mais beaucoup de bon sens. Plongeons ensemble dans ce projet : « l’appartement du futur ».

  1. Portrait d’un explorateur du futur

    Corentin de Chatelperron n’est pas un habitué du canapé urbain. Il a navigué, vécu dans des voiliers-laboratoires, dans des environnements extrêmes, tout ça pour tester, expérimenter, comprendre les low-tech.
    Il est passé d’aventures maritimes à des projets de recherche et de design plus terre à terre. Et maintenant, il s’installe… en appartement, en plein cœur d’une ville.

    Pourquoi ? Parce que plus de 50 % de l’humanité vit en zone urbaine aujourd’hui, et ce chiffre devrait atteindre près de 70 % d’ici 2050. Bref : si on veut vraiment changer les choses, il faut penser ville, pas seulement mer ou désert.

  2. Le projet “appartement du futur” : concept et ambition

    Le projet est simple… et révolutionnaire : vivre en ville autrement grâce à des solutions low-tech. On parle d’un appartement situé à Boulogne-Billancourt, en banlieue parisienne, où Corentin et sa compagne Caroline Pultz ont installé une vie en quasi-autonomie. Le concept : « utile, accessible et durable ». Des technologies simples, pas de « smart » à gogo, mais efficaces. Ils imaginent ce que pourrait être la vie urbaine durable en 2040.

  3. Ce qu’il y a dans l’appart : low-tech version urbaine

    Imaginons un peu l’intérieur : dès l’entrée, des boîtes à œufs transformées en vivariums avec des grillons qui stridulent. Oui, des grillons. Des toilettes « vivantes ». De la végétation à portée de main : des aromates sur les plans de travail en bois. Le sol en jonc de mer, les murs recouverts de toile de coton. 

    On est en pleine expérience de vie minimaliste… mais en ville.
    Pas d’écran géant, pas de domotique haut de gamme, mais beaucoup de matière naturelle, de récupération, de logique écologique.

  4. Les défis et les limites (soyons francs)

    Bien sûr, tout n’est pas rose. Vivre « 100 % low-tech » en ville pose des contraintes : confort, acceptation sociale, coûts initiaux (même si moindres que pour les systèmes high-tech). Le projet est en mode expérimental ; il vise à montrer des pistes, pas à bannir toute technologie.

    De plus, transposer cette expérience à grande échelle (tous les appartements, immeubles…) reste un sacré challenge. Mais c’est précisément la force de ce genre de projet : ouvrir le champ des possibles.

  5. Pourquoi ça intéresse GLASSEO (et vous aussi)

    Chez GLASSEO, nous réparons et remplaçons des pare-brise… et réparons le monde.
    Le projet de Corentin nous parle : il remet l’humain et l’usage au centre. Il propose un habitat urbain qui consomme moins, produit moins de déchets, utilise ce qui est disponible. En plein dans notre fil conducteur : réparer, prolonger la durée de vie, limiter l’impact.

    Pour les clients et partenaires de GLASSEO, c’est une source d’inspiration : comment simplifier, réduire la techno quand elle est inutile, privilégier l’essentiel.

  6. Ce que l’on peut en retenir pour demain

    L’urbain n’est plus forcément synonyme de consommation ultra-rapide ou de gadgets. On peut repenser l’habitat avec simplicité. Les low-tech ne sont pas archaïques : elles sont adaptées, durables, accessibles.
    Même dans une ville dense, on peut viser l’autonomie relative, la qualité de vie, le retour à des matériaux et usages plus naturels. Les expériences comme celle-ci sont des laboratoires pour demain. Elles ne sont pas parfaites, mais elles questionnent.

    Chez GLASSEO, ça nous motive à imaginer nos propres gestes et services : comment rendre l’intervention plus sobre, plus durable, moins intrusive. Ce projet nous rappelle que chaque secteur peut évoluer.